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Merpins : Des expropriations inévitables

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Le dépôt Antargaz fait l’objet d’un PPRT.

Le dépôt Antargaz fait l’objet d’un PPRT. (Photo C. G.)

La dernière réunion du Conseil municipal de cette année 2013 avait lieu lundi. À l’ordre du jour, un sujet très controversé, celui des expropriations foncières dans le cadre du Plan de prévention des risques technologiques (PPRT) de la société Antargaz. Gilles Bonnet a rappelé que les installations de cette société sont implantées sur les communes de Gimeux et de Merpins et font l’objet d’un PPRT approuvé par arrêté préfectoral du 10 décembre 2012.

Ce PPRT institue deux secteurs d’expropriations. L’un, situé sur la commune de Merpins, concerne cinq immeubles. Ce secteur correspond aux parcelles cadastrées ZH 101, ZH 100, ZH 99, ZH 98 et ZH 97. Afin de lancer la procédure d’expropriation, le préfet doit notifier la déclaration d’utilité publique (DUP).

DISSOLUTION DU SIVOM

Comme son homologue de Gimeux (lire ci-dessous), le maire Gilles Bonnet a exposé aux membres du Conseil les modalités de liquidation du Syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) telles qu’elles ont été approuvées par le comité syndical le 4 décembre dernier. Les actifs ont été vendus y compris le bâtiment qui a été acquis par la Communauté de communes (CdC) de Grand-Cognac où les archives du Sivom y resteront stockées. Un terrain d’environ 50 m2 sur la commune de Boutiers lui sera affecté.

Dans ce cas, la commune doit solliciter l’ouverture de l’enquête préalable à la DUP. Puis, à la fin de la procédure, la commune deviendra propriétaire des biens soit par acquisition amiable soit par expropriation.

Le financement de cette procédure sera assuré par les dispositions prévues au code de l’environnement. La démolition des immeubles sera prise en charge par la commune ainsi que les frais divers de dépollution des terrains. Ensuite, le risque de voir une route départementale traversée un site Seveso n’est pas à écarter.

Colette Guné

Merpins

Gimeux : La fin du Sivom en question

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Chantal Nadeau, maire, et Joël Baudin, adjoint.

Chantal Nadeau, maire, et Joël Baudin, adjoint. (Photo C. G.)

Le Conseil municipal s’est réuni mardi afin de délibérer sur la dissolution du Syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) du Cognaçais. La dette du Sivom n’est toujours pas connue à ce jour, toutefois il y a lieu de tenir compte des modalités de liquidation du Sivom telles qu’elles ont été approuvées par le comité syndical en séance du 4 décembre dernier.

Dettes et archives


Les actifs ont été vendus y compris le bâtiment qui a été acquis par la Communauté de communes (CdC) de Grand-Cognac. En accord avec la CdC, les archives du Sivom resteront stockées dans ce bâtiment. Un terrain d’environ 50 m2, sis sur la commune de Boutiers, sera affecté à cette commune.

Les communes présentant une créance à l’égard du Sivom pourront en récupérer le montant en déduction de la dette dont elles devront s’acquitter.

L’enquête en cours se poursuit toutefois, les membres du comité de liquidation souhaitent que le Sivom soit liquidé dans les meilleures conditions. Pour la commune de Gimeux, 766 habitants, le pourcentage à appliquer est de 3,24 %. La commune ne possédait plus de créance envers cet organisme.

La maire, Chantal Nadeau, poursuit par la nouvelle découpe des cantons (19 au lieu de 35 actuellement) sur le département en précisant que la commune de Louzac-Saint-André passera dans le canton Nord du Cognaçais à partir de janvier 2014. Le nombre de conseillers généraux passera de 35 à 38 afin de respecter la parité ; pour ce faire, il sera créé des binômes dans chaque canton (19 cantons x 2 conseillers généraux).

Les nouvelles dispositions prises par le Pays Ouest Charente (la suppression des subventions de moins de 1 000 euros pour les petites communes) sont évoquées. Les études de projets seront traitées directement par la Région ce qui supprimera la notion de proximité.

C. G.

Gimeux

Salles d'Angles : Plus de 2500 € à Salles d'Angles

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Le Téléthon, une bonne cause qui, une fois de plus, a réuni les Salléens et les Angeacais.

Dès 8 h 30, environ 80 participants sont partis de la salle Rémy-Piron à Angeac pour une marche qui les a conduits à la salles polyvalente pour un casse-crouûte offert par les associations de Salles d'Angles.

Ensuite, ils ont continué leur parcours afin de revenir à la case départ pour le déjeuner qui a rassemblé environ 115 adultes et enfants. Le tirage de la tombola a clôturé l'après-midi.

Le résultat de la journée, 2676 €, stable par rapport à l'an dernier, se répartit ainsi : marche 151 € ; repas 829 € ; tombola 596 € ; dons 1010 € ; vente de gâteaux au magasin Proxi 90 €. Cette somme a été versée à l'association française contre les myopathies. En plus d'Angeac et de Salles d'Angles, les participants venaient des communes de Gensac, Châteaubernard, Genté, Saint-Brice, Brives-sur-Charente, Cognac, etc... 

 

Ars : Baisse de la taxe d’aménagement

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La maire Marie-Paule Guilloton et Isabelle Baudry secrétaire de mairie.

La maire Marie-Paule Guilloton et Isabelle Baudry secrétaire de mairie. (Photo C. G.)

Les conseillers municipaux se sont réunis pour la dernière fois de l’année.

Parmi les dossiers à l’ordre du jour : le taux de la taxe d’aménagement, à savoir l’ancienne taxe locale d’équipement. Marie-Paule Guilloton propose d’en revoir les taux. Après discussion, il est voté la baisse de cette taxe au 1er janvier 2014 soit 1,5 % au lieu de 2 % pour les agrandissements et 2 % au lieu de 3 % pour les constructions neuves.

Au fil des dossiers

A l’ordre du jour se trouvait également, l’aménagement de la voie de Bonbonnet, une commission a été créée parmi les élus afin d’instruire le dossier. Une partie sera prise en charge par la commune et une autre par la CdC de Grand Cognac. Les cognacs Ferrand ont demandé un dévoiement pour permettre aux camions de leur entreprise de sortir en toute sécurité. Bien entendu, les différentiels seront pris en charge par les cognacs Ferrand, qu’il s’agisse des bornages, des frais de notaire, de la voirie, etc.

La maire, Marie-Paule Guilloton, évoque ensuite l’assainissement non collectif dont le contrat passait par la DDT. Or, l’État se désengageant de plus en plus, les services de la DDT (Direction départementale des territoires) cesseront leur activité fin 2013. Ce genre de service sera assuré par un nouveau groupe de conseil juridique privé, Charente Eau. Pour la partie assainissement collectif, la commune possède un contrat avec Véolia. Marie-Paule Guilloton demande à ses conseillers d’étudier ce dossier afin de prendre une décision d’adhésion ou non, en début 2014.

La maire poursuit par le dossier des subventions avec notamment une demande du Comité d’Entraide de Cognac ; la somme de 50 € versée en 2012 est reconduite pour 2013.

Un don de 300 € au profit des Philippines est voté mais sera bloqué volontairement tant que l’association des Maires de Charente ne donnera pas le feu vert pour transiter par leur organisme. Marie-Paule Guilloton aborde ensuite le dossier du Sivom. Il sera tenu compte, pour la commune d’Ars, de la somme de 17 184,35 € due par le Sivom ; ce montant ainsi que la mise à disposition de Mme Peronne pour 1 317 € plus le remboursement de la TVA encaissée par le Sivom pour le compte de la commune d’Ars. Ces sommes seront donc déduites de la dette à prendre en charge par la commune. Le nombre d’habitants pris en compte est de 737 et le taux de participation de 3,12 %. Dans l’hypothèse d’une dette de 500 000 € x 3,12 % soit 15 600 € ; somme couverte par les dus.

Colette-Christiane Guné

Ars · Cognac

Louzac-Saint-André : A quand la fusion entre les bourgs ?

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A quand la fusion entre les bourgs ?

Le maire Lilian Jousson.© PHOTO 
PHOTO C. G.

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e l’action pour ce dernier Conseil municipal de l’année devant un public attentif et, bien évidemment, le sujet sur les rythmes scolaires qui passeront de quatre jours à quatre jours et demi dès la rentrée de septembre 2014. La Communauté de communes (CdC) de Grand-Cognac prend la compétence afin que les écoliers du Cognaçais soient sur un pied d’égalité ; elle financera donc les trois heures supplémentaires.

Pour l’aménagement du périscolaire, une première réunion a eu lieu avec des représentants de Javrezac et Saint-Laurent. Christian Lacroix, maire délégué de Saint-André, s’étonne de voir tous les projets axés sur le mercredi matin au lieu d’envisager plutôt le samedi matin, ce qui provoquerait une coupure pour les écoliers. Le maire Lilian Jousson précise qu’un questionnaire a été envoyé aux familles par la CdC de Grand-Cognac et que 95 % des parents ne voulaient pas du samedi matin. Il ajoute que la prochaine étape de ce projet portera sur le questionnement des associations, culturelles et sportives, afin de savoir ce qu’il sera possible de mettre en place avec leur concours.

Il convient également de savoir que les effectifs scolaires de la commune sont en baisse avec 22 enfants en maternelle et 51 en primaire.

La liquidation du Sivom

Lilian Jousson en profite pour annoncer le nouveau bureau de l’Association des parents d’élèves (APE) ; il précise d’ailleurs qu’afin de les aider à concrétiser leur projet d’achat de livres pour les enfants à Noël, la municipalité attribue 100 €, plus 120 € de la part de Lecture en liberté ainsi que 50 € d’un don privé, soit 70 % du budget de l’APE qui se montait à 435 €.

Il est ensuite abordé les questions financières avec la reconduction de la ligne de trésorerie qui sera rétablie par le CRCA à 45 000 € alors qu’en 2012 et 2013 elle avait été abaissée à 31 000 €. Un emprunt de 20 000 € sur cinq ans auprès de la Caisse d’épargne est souscrit pour dépenses supplémentaires et imprévues.

Pour terminer, il est question de la délibération sur la liquidation du Syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom). Certains élus continuent de penser que cette structure aurait été viable en « réduisant la voilure », certains emplois auraient pu être maintenus pour satisfaire aux petits travaux de voirie des communes. Le coût de cette liquidation se situera pour les administrés entre 10 et 25 € par personne.

Jackie Delvoye pose la question de savoir où en est la fusion de Louzac et de Saint-André d’autant qu’il n’existera plus qu’une liste commune pour les prochaines élections communales. Un maire à Louzac et un maire délégué à Saint-André ne se justifiant plus.

Colette Guné

Saint-Laurent-de-Cognac :Liquidation du Sivom

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Le maire Christian Fayoux.© PHOTO 
PHOTO C.-CH. G.

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undi, à l’instar de toutes les communes du Cognaçais ces jours-ci, l’ordre du jour du Conseil municipal portait sur la liquidation du Syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom).

Le maire, Christian Fayoux, a détaillé aux membres du conseil, les modalités qui ont été approuvées par le Comité syndical, en date du 4 décembre. Il a été admis que la commune participera à l’apurement de la dette - dont le montant n’est pas connu à ce jour - à hauteur de 3,75 % du total, en fonction de sa population (888 habitants sur 23 667) pour l’ensemble du Sivom. Les élus ont donné leur accord sur les modalités de liquidation non sans avoir échangé sur la fin de la structure.

Transports scolaires

Le maire a ensuite abordé l’organisation du transport des élèves du premier degré. Ce transport, qui auparavant était assuré par le Conseil général de la Charente, est entre les mains de la CdC de Cognac depuis la dernière rentrée scolaire. Un règlement d’interventions communautaires en matière de subventions de fonctionnement et d’investissement aux autorités organisatrices secondaires, dans le cadre de cette organisation a été adopté par le conseil. Ce qui implique, pour la commune, que la subvention afférente aux transports scolaires sera désormais versée par Grand Cognac CdC.

Colette-Christiane Guné

Louzac-Saint-André : Pétanque : la Coupe du fair-play pour Vahiné

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Pétanque : la Coupe du fair-play pour Vahiné

Le diplôme du Fair-Play pour Vahiné Teva.© PHOTO 
PHOTO COLETTE-CHRISTIANE GUNÉ
 
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’assemblée générale du club de pétanque se tenait le vendredi 6 décembre dans la salle des fêtes de Saint-André.

En ouverture de séance, les traditionnels rapports : moral et financier. Sur le plan sportif, on notera le Prix du fair-play départemental attribué à Vahiné Teva ; diplôme qui lui donne le droit de disputer le championnat de ligue 2014 en tête à tête.

PROJETS POUR 2014

Il convient de noter, le 25 janvier, une journée consacrée à la troupe de théâtre des Borderies qui se produira à Angeac-Champagne. Le 15 février, le club organisera une choucroute à la salle de Saint-Laurent-de-Cognac. Le 23 mars, bourse des collectionneurs et brocante. Le 13 avril, foire aux vêtements et chaussures. Le 6 juillet, sardinade.

La triplette louzacaise vise le championnat du district du Cognaçais. Concernant les finances, alors que le cochonnet brûlait en 2012, la situation financière du club se rétablit en 2013 et les comptes deviennent positifs. On note également de nombreuses acquisitions et dons de matériels.

Nicole Clément entre en soutien dans le bureau pour s’occuper de la trésorerie ainsi que Pascal Nadeau en bénévole.

Les membres du bureau profitent de la présence du maire, Lilian Jousson, pour l’interroger sur le problème d’espace de rangement ainsi que de nouvelles infrastructures de jeu, le club se développant en nombre de licenciés.

C-CH. G.

Louzac-Saint-André : Grand nettoyage

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Grand nettoyage

 

Unis pour la protection de l’environnement.© PHOTO 
PHOTO C.-C. G.
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our la première fois dans la commune, à l’initiative de la municipalité, les associations se sont réunies pour un après-midi « nettoyage de la nature » afin d’enlever plusieurs dépôts sauvages importants qui avaient été identifiés dans les bois alentour.

Ainsi, mardi, dès 13 h 30, une vingtaine de personnes représentant, le Comité de jumelage, le club de pétanque, le théâtre des Borderies, le club du troisième âge, le club de foot, le club de peinture, l’association Lecture en liberté, l’Association des parents d’élèves, Nounou éveil et l’association Diane en Borderies ont participé à l’enlèvement des énormes tas de détritus.

47 pneus, entre autres

Précisons qu’au niveau logistique, la municipalité a affecté un agent territorial et un camion benne. Toutefois, ce matériel a été insuffisant puisque le théâtre des Borderies a également prêté son camion de transport pour véhiculer : canapés, sommier, matelas, landaus d’enfants, une énorme quantité de chaussures pour enfants, de nombreux médicaments dangereux mais aussi 47 pneus usagers que les établissements Vulco à Cognac ont bien voulu récupérer ; les déchetteries n’acceptant pas ce type de déchets.

A la fin de l’après-midi, Dulce Thibaud qui tenait à soutenir cette action recevait le maire, les élus et les associations à l’Iberica en leur offrant le verre du « réconfort » accompagné de toasts bien appréciés.

Colette-Christiane Guné


Salles d'Angles : Tous ensemble sur le terrain

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Tous ensemble sur le terrain

Parents et enfants unis pour un même sport, le basket.© PHOTO 
PHOTO COLETTE-CHRISTIANE GUNÉ
 
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éance un peu particulière mercredi. Quelques jours seulement avant les vacances de Noël, le club de basket a organisé avec les poussins débutants, confirmés, benjamins, frères, sœurs et les parents, des petits matchs avec des équipes composées d’enfants et d’adultes, soit une quarantaine de participants.

Un moment très convivial et riche en relationnel qui a été suivi d’un goûter offert par le Club aux participants et spectateurs afin de clôturer cet après-midi sportif.

Saint-Sulpice-de-Cognac : Les modalités de liquidation du Sivom à l’ordre du jour du conseil

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à l'image des 23 communes concernées, l'ordre du jour du conseil municipal de mardi dernier, à Saint-Sulpice-de-Cognac, concernait les modalités de liquidation du Syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) du Cognaçais. Comme le précise le maire, Jacques Naudin, le montant de la dette, n'est pas définitivement connu. Il se situe dans une fourchette estimée entre 300 et 500 000 €.

Pour ce qui concerne la commune de Saint-Sulpice, le pourcentage appliqué, au prorata de sa population de 1 288 administrés, sera de 5,44 %. Les archives du Sivom resteront sur place dans les locaux achetés par la Communauté de communes (CdC) de Grand-Cognac. Les créances qui restent à recouvrer seront prises en charge par le Syndicat d'eau qui en gardera les paiements dans le cas de retours positifs.

Deux nouvelles entreprises

Jacques Naudin sollicite ensuite les élus afin de désigner les délégués pour siéger à l'agence technique départementale. Dominique Souchaud propose sa candidature au poste de titulaire et Jacques Naudin pour le poste de suppléant. Il est ensuite abordé le contrat mis en place avec Louzac-Saint-André relatif à l'utilisation du matériel acheté en commun. La mutualisation de ce matériel implique une gestion partagée tant de l'entretien que des réparations ou autres. Pour ce faire, Jean-Claude Gaborit et Julien Favreau seront les élus référents pour traiter de ces problèmes.

Concernant la zone d'activités, Jacques Naudin annonce l'arrivée de deux nouvelles entreprise : Guéguen (Monte-Charges et Ascenseurs) et Vinsonneau (travaux publics).

Colette Guné

Ars : Un Noël d’autrefois conté aux élèves

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Un Noël d’autrefois conté aux élèves

Enfants, enseignants, grands-parents ainsi que les maires de Gimeux et Ars, unis pour célébrer Noël.© PHOTO 
PHOTO C.-C. G.
 
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haque année, enfants et grands-parents attendent ce moment-là avec impatience, ainsi mardi 17 décembre, l'école primaire d'Ars avait mis les petits plats dans les grands pour recevoir les aînés en présence de Marie-Paule Guilloton, maire d'Ars, et de Chantal Nadeau, maire de Gimeux.

La salle d'activités physiques avait été équipée en bancs pour recevoir les adultes, tandis que les tapis de sol occupaient les angles de la salle pour accueillir les enfants qui attendaient sagement, coiffés du traditionnel bonnet rouge et blanc, d'intervenir dans un spectacle intitulé « C'était comment Noël autrefois ? »

Tout d'abord, Jean-Marie Guilloton, en sa qualité de président de l'atelier social de l'Agenda 21, ouvrait les festivités en demandant aux grands-parents de raconter leurs Noël d'autrefois. Pour les uns, la veille de Noël était consacrée à la préparation du sapin et du repas du lendemain. Les chaussures rassemblées devant la cheminée ne contenaient souvent que quelques friandises ou parfois juste une seule orange. Pour d'autres, le 24 décembre au soir, « on allait à la messe de minuit et lorsque nous rentrions, nous allumions toutes les lumières et nous écoutions des chants de Noël. »

Chants et douceurs

Ainsi se sont déroulées les pages d'une époque pas si lointaine et pourtant si différente. Puis, Jérôme Dereumaux a demandé aux élèves des classes de CP et CM1 d'interpréter le célébrissime « Papa Noël » de Tino Rossi mais aussi « We wish you a merry Christmas » ainsi qu'une poésie sur « la bûche de Noël ». Ce fut ensuite le tour de Camille Debiais qui, avec les élèves de CE1 et CE2, a chanté « Vive le vent » et le « Petit Garçon » de Nana Mouskouri. Enfin, les élèves de CM1-CM2 d'Aurélie Seize ont pris possession de l'espace scénique pour chanter « C'est ma terre », de Christophe Maé, et « Santa Clauz is coming to town », de Franck Sinatra, etc.

Un tel moment d'émotion partagée ne pouvait pas se terminer sans un passage au réfectoire de l'école où étaient servies boissons et bûche de Noël, ces petits plaisirs qui savent unir, si besoin était, enfants et grands-parents.

Colette-Christiane Guné

Merpins : Le Père Noël va à la maternelle

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Le Père Noël va à la maternelle

Le Père Noël, entouré de Stéphane Jourdes, Isabelle Verdon, les Atsem Malika et Stéphanie, ainsi que Dany Granet, et le groupe d’enfants de l’école maternelle.©
PHOTO COLETTE-CHRISTIANE GUNÉ
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endredi 20 décembre, en compagnie de Dany Granet, adjointe en charge de la commission scolaire auprès de la municipalité, cheminait un curieux bonhomme vêtu de rouge et portant sur son dos une hotte blanche remplie de friandises. De concert, cet étrange duo se dirigeait d'un pas ferme vers l'école maternelle.

Une fois la porte franchie, un grand silence s'est installé, suivi aussitôt d'un murmure de surprise : le Père Noël ! Il était au milieu des enfants qui restaient bien sagement assis, les yeux écarquillés vers cet étrange bonhomme.

Après avoir posé son encombrante hotte, il a pris place dans un fauteuil au milieu du petit groupe. En guise de bienvenue, les enfants ont entamé un poème d'accueil qui parlait d'un « petit bonhomme au capuchon pointu qui apporte des jouets ». Ensuite, Isabelle Verdon et Stéphane Jourdes, les enseignants, ont demandé aux enfants s'ils avaient des questions à poser au Père Noël. Après un petit temps d'attente, Lilou s'est dévouée pour poser une question, somme toute très pratique puisqu'elle souhaitait savoir où se trouvaient le traîneau et les rennes ?

Quant à Noé, il s'inquiétait de savoir comment était la maison du Père Noël ; Alban, lui, demandait s'il existait une mère Noël etc. Ainsi s'est poursuivi ce jeu de question/réponse qui plongeait les enfants dans un état de réflexion très positif. Après avoir distribué ses friandises, le Père Noël est reparti vers d'autres enfants qui attendaient son passage avec impatience.

Colette-Christiane Guné

Gimeux : Les aînés ont fêté Noël

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Les aînés ont fêté Noël

Chantal Nadeau, maire, en compagnie de Maurice Valeix et des adhérents au club des aînés.© PHOTO 
PHOTO C.-CH. G.
 
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eudi dernier, dans une bonne odeur de plats mijotés, une trentaine de convives avaient pris place parmi lesquels Chantal Nadeau, maire de la commune. Le club des Aînés, conformément à son habitude, célébrait la fin de l'année.

Mais cette fois, la célébration prenait une allure encore plus festive puisque Maurice Valeix, l'un des adhérents du club, fêtait ses 90 printemps. Marie-Rose et Annette étaient aux fourneaux pour cuisiner des coquilles saint-jacques mais aussi un gigot de chevreuil accompagné de pommes de terre aux cèpes, pour terminer sur une assiette gourmande arrosée de champagne, offert par Mme Nadeau et par Maurice.

Quant aux « petites mains » de l'association, elles avaient apporté tout leur soin à la décoration de la salle et de la table. Suzanne Garnier, 86 ans, avait confectionné 30 pochons de bonbons au chocolat qu'elle avait disposés près des assiettes.

Si, autour de la table, on trouvait les messieurs regroupés dans une première moitié de la table tandis que ces dames occupaient l'autre moitié, tout cela était normal puisque « les sujets de conversations sont loin d'être les mêmes ». Après que les papilles se sont émoustillées, point de sieste, bien au contraire, la table s'est recouverte du traditionnel tapis de jeu et les équipes se sont formées autour des cartes pour la belote ou des jeux de société.

Colette-Christiane Guné

Ars : Le boucher ouvre les portes de son commerce

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Le boucher ouvre les portes de son commerce

Éric Brandt et Valérie.© PHOTO 
PHOTO COLETTE-CHRISTIANE GUNÉ

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es Arsois ont pu, le 19 décembre, pousser la porte de la boucherie-charcuterie de la commune. En effet, Éric Brandt y a pris ses fonctions de boucher-charcutier- traiteur.

Éric possède déjà une boucherie à Chaniers et sa réputation a passé la frontière départementale. L'une des spécialités d'Éric est le grillon charentais et les terrines mitonnées. Aidé de Valérie, il ouvre sa boutique tous les matins, sauf le lundi. Par la suite et en fonction de l'évolution, Éric projette d'ouvrir deux ou trois après-midi par semaine.

Javrezac : Il offre l'oeuvre réalisée par son père

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Il offre l’œuvre réalisée par son pèreJean Gombert et Grégory Courteaux encadrent l’œuvre de Denis, reconnu meilleur ouvrier de France en 1994.© PHOTO 
PHOTO C. G.
 
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enis Courteaux était tonnelier à la tonnellerie Taransaud. Passionné par son métier, encouragé par ses patrons, il décidait de présenter une œuvre qui symbolise son métier et la région.

Il consacrera environ 350 heures à façonner dans du chêne massif un foudre de 400 litres qu'il fera reposer sur un berceau sculpté. Il consacrera également 150 heures pour le berceau, dans son garage, pendant ses loisirs, à dessiner chacun des éléments : raisins, pampre de la vigne, etc. puis, lui qui ignorait tout de la sculpture, à sculpter chacun des éléments de son dessin dans la chair du chêne. Son fils Grégory raconte qu'il l'a même vu recommencer son œuvre à cause d'un coup de ciseau à bois qui avait dévié de sa trajectoire.

En 1994, année du 500e anniversaire de François Ier, il présenta son œuvre au concours du Meilleur Ouvrier de France et cette année-là, après une exposition à Niort, une réception à la Sorbonne à Paris, il était reçu par François Mitterand à l'Élysée pour la consécration finale, celle de Meilleur Ouvrier de France.

Denis Courteaux est décédé en 2003, à l'âge de 50 ans ; aujoud'hui, son fils Grégory, tonnelier également à la tonnellerie Taransaud, a souhaité léguer l'œuvre réalisée par son père à la mairie de Javrezac, berceau des familles Courteaux et Bouty (nom de jeune fille de l'épouse de Denis Courteaux). « Mon père est né ici, il a toujours considéré sa commune de naissance avec beaucoup d'amour, aujourd'hui où il se trouve, sa fierté et son amour sont récompensés. »

Jean Gombert et les élus reçoivent cet honneur qui leur est fait avec beaucoup de respect ; Denis Courteaux et son œuvre orneront donc la salle de réunion de la mairie de Javrezac.

Colette Guné


Javrezac : Il offre l'oeuvre réalisée par son père

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Il offre l’œuvre réalisée par son pèreJean Gombert et Grégory Courteaux encadrent l’œuvre de Denis, reconnu meilleur ouvrier de France en 1994.© PHOTO 
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enis Courteaux était tonnelier à la tonnellerie Taransaud. Passionné par son métier, encouragé par ses patrons, il décidait de présenter une œuvre qui symbolise son métier et la région.

Il consacrera environ 350 heures à façonner dans du chêne massif un foudre de 400 litres qu'il fera reposer sur un berceau sculpté. Il consacrera également 150 heures pour le berceau, dans son garage, pendant ses loisirs, à dessiner chacun des éléments : raisins, pampre de la vigne, etc. puis, lui qui ignorait tout de la sculpture, à sculpter chacun des éléments de son dessin dans la chair du chêne. Son fils Grégory raconte qu'il l'a même vu recommencer son œuvre à cause d'un coup de ciseau à bois qui avait dévié de sa trajectoire.

En 1994, année du 500e anniversaire de François Ier, il présenta son œuvre au concours du Meilleur Ouvrier de France et cette année-là, après une exposition à Niort, une réception à la Sorbonne à Paris, il était reçu par François Mitterand à l'Élysée pour la consécration finale, celle de Meilleur Ouvrier de France.

Denis Courteaux est décédé en 2003, à l'âge de 50 ans ; aujoud'hui, son fils Grégory, tonnelier également à la tonnellerie Taransaud, a souhaité léguer l'œuvre réalisée par son père à la mairie de Javrezac, berceau des familles Courteaux et Bouty (nom de jeune fille de l'épouse de Denis Courteaux). « Mon père est né ici, il a toujours considéré sa commune de naissance avec beaucoup d'amour, aujourd'hui où il se trouve, sa fierté et son amour sont récompensés. »

Jean Gombert et les élus reçoivent cet honneur qui leur est fait avec beaucoup de respect ; Denis Courteaux et son œuvre orneront donc la salle de réunion de la mairie de Javrezac.

Colette Guné

 

Louzac-Saint-André : Tous les coups, ou presque, sont permis

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Cyrille Cotten, Annie Boisnier et Lilian Jousson dans « La Main passe », de Georges Feydeau.© PHOTO 

PHOTO COLETTE GUNÉ
Une partie de cartes est un bon moment entre amis. Une pièce théâtrale aussi, surtout lorsqu'il s'agit d'un vaudeville. C'est ce que propose à son public la troupe de théâtre des Borderies, qui retrouvera les planches à partir du samedi 18 janvier. Rendez-vous chez elle à l'école de Louzac-Saint-André, à 20 h 30, avec « La Main passe », de Georges Feydeau.

Les réservations sont ouvertes depuis le 6 janvier. Pendant deux heures, le public pourra découvrir les passes, entre baccara, bataille et poker menteur, qui vont bouleverser les combinaisons possibles entre deux couples de cette bourgeoisie parisienne du XIXe siècle, si pudibonde mais tellement proche de nos mœurs contemporaines. Les règles du jeu seront rarement suivies et chacun tentera de sortir de sa manche la carte maîtresse lui permettant de gagner la partie. Tous les coups, ou presque, seront permis : aucune morale dans « La Main passe » puisque tricher, c'est gagner…

Les représentations qui vont s'étaler auront toutes lieu à 20 h 30, avec ouverture des portes à 20 heures. Le tarif est de 5 euros (gratuit pour les moins de 12 ans). Les places étant numérotées, la réservation est conseillée.

Javrezac : Une page se tourne

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émotion lors des voeux de Jean Gombert

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Jean-Pierre Lebugle, Jean Gombert, Gérard Joubert et Michel Freinaud.© PHOTO C. G.

Ainsi Jean Gombert s'est penché sur le passé de Javrezac en soulignant particulièrement l'aspect humain sur lequel a été basée la vie de la commune ; vie faite de relations amicales, d'esprit de groupe, de famille ou d'équipe au travers des différentes associations qui, au cours de ces années, ont su donner une âme à Javrezac.

Hommages

Si « l'amitié est la base de toute vie en société », Jean Gombert, ce lundi soir, a tenu à illustrer ses propos en évoquant les différentes associations : l'Étoile Sportive, le Tennis-Club, le jumelage, les Amis de la fontaine de Gâte Chien, les Trotte-Sentiers, mère Elsa, l'Association des motards, l'Association des parents d'élèves et les Chasseurs.

Jean Gombert a rendu hommage à son équipe municipale pour le travail accompli mais également au personnel communal pour l'accomplissement du quotidien.

Jean Gombert a ensuite demandé à Michel Frainaud de venir recevoir la médaille d'or des collectivités locales attribuée à son épouse, Léone, pour trente-sept années de service public, tragiquement décédée en novembre dernier.

C'est ensuite avec beaucoup d'admiration et de respect que Jean Gombert a évoqué les trente années de mandat de Gérard Joubert. Recruté à l'âge de 23 ans pour faire partie du Conseil municipal, Gérard a consacré à sa commune chaque minute de son temps libre en dépit des difficultés procurées par ses obligations professionnelles ; son travail a souvent été obscur mais énormément efficace et récompensé, ce lundi soir, par la médaille de Vermeil des collectivités locales. Jean Gombert a ensuite complété cette remise de distinction en remettant le diplôme de citoyen d'honneur de Javrezac à Jean-Pierre Lebugle, facteur depuis 1996 et parti récemment en retraite. Jean-Pierre Lebugle a su par sa gentillesse, son contact humain et son humour faire l'unanimité auprès des administrés de la commune.

Ce long moment d'émotion passé, Jean Gombert a invité les participants à cette cérémonie à se diriger vers le buffet qui les attendait afin de sceller, en toute convivialité, un moment clé.

Colette Guné

Saint-Brice : Vingt-cinq ans de mandat

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Pour André Pelletant, le maire de Saint-Brice, la cérémonie des vœux de mercredi avait une « couleur particulière » puisqu'il s'agit des derniers vœux de son mandat : l'édile ne se représentera pas aux élections municipales de mars prochain.

« Quatre mandats de maire, vingt-cinq années d'une vie consacrée à la gestion de la commune, parsemées de satisfactions et de désillusions, il est temps de passer la main », a estimé le maire.

Des réalisations importantes

André Pelletant a souligné les réalisations importantes accomplies au cours de ses différents mandats, comme celles des bâtiments scolaires, la création de la cuisine, de la salle d'archives, la révision du beffroi de l'église, la création de l'aire d'accueil de la Trache, la révision du pont du Charenton et de la salle des fêtes ainsi que sa mise aux normes, la réfection de toutes les toitures des bâtiments communaux… sans omettre la création d'une bibliothèque-médiathèque qui « fait honneur à la commune et représente un symbole fort de la mixité intergénérationnelle ».

Le maire a également évoqué la signature, en 1997, de la charte du jumelage avec la commune de Radda in Chianti en Toscane (Italie), qui concrétisait sa volonté de jumeler Saint-Brice avec une commune européenne.

Aménagements en projet

Le maire s'est également félicité de la création du festival Val de Charente. Après avoir remercié les élus pour leur implication et mentionné les achats de terrains et les aménagements en projet pour la préservation du Saint-Brice de demain, André Pelletant a évoqué la salle de spectacle qui doit être construite en partenariat avec Boutiers et pour laquelle les plans architecturaux sont arrêtés. « La crise nous pénalise au niveau bancaire alors que nous recherchons, en vain, des capitaux sur un minimum de vingt ans voire de vingt-cinq ans », a-t-il précisé. Une réflexion doit être menée à ce sujet dans les semaines à venir.

Avant de conclure par le traditionnel verre de l'amitié, André Pelletant n'a pas manqué de remercier les quatre équipes qui se sont succédé au fil du temps : élus, agents communaux, enseignants…

 

Saint-Laurent-de-Cognac : Christian Fayoux à coeur ouvert

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Christian Fayoux, entouré par ses conseillers municipaux.

Christian Fayoux affirme vouloir dorénavant « prendre du temps pour lui », afin d'être plus présent à son domicile et de se rendre plus disponible pour sa famille. Vingt-cinq ans au service de la commune lui ont apporté beaucoup de satisfactions et laissé toutefois deux regrets : que la commune n'ait pas réussi à franchir la barre des 1 000 habitants (ce qui est regrettable pour la pérennité des écoles) et que le projet de desserte de l'usine Revico n'ait pu être mené à bien (la commune ne pouvant pas le porter seule).

Passage de témoin

Parmi les nombreuses joies et satisfactions, Christian Fayoux évoque le jumelage avec la ville de Kerbach (Moselle). Cette action a pu être menée à bien grâce au soutien des élus mais également du personnel communal (dont les secrétaires), les services techniques, le personnel de remplacement (toujours prêt à intervenir), les enseignants et les associations qui ont toujours œuvré pour l'animation et la bonne représentation de la commune. Des remerciements sont allés aussi aux membres extérieurs des commissions communales ainsi qu'à toutes celles et ceux qui ont valorisé son action. Il affirme que son départ et sa succession ont suscité beaucoup de réflexion de sa part et, même s'il a facilité ce passage de témoin pour le futur candidat, il n'en demeure pas moins que ce sont les électeurs qui choisiront. Il ajoute que beaucoup de projets sont en gestation ; il conviendra de vérifier la capacité à les réaliser, cela sera fonction du nombre et de l'importance des travaux ; en conclusion : « De la patience oui mais il faut aussi oser. »

Avant de convier les participants au buffet, Christian Fayoux a souhaité chance et réussite à la prochaine équipe municipale.

Colette Guné

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